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Un tableau de Stoskopff pour Strasbourg

2/10/21 - Acquisition - Strasbourg, Musée de l’Œuvre Notre-Dame - Peintre de natures mortes et notamment de vanités, Sébastien Stoskopff fit honneur, pourtant, aux vains plaisirs de la vie, pernicieux pour l’âme et pour le corps. C’est du moins ce que sous-entend sa nécrologie rédigée par le pasteur d’Idstein dans le registre paroissial : « L’an 1657, 11 février, Stoskopff, peintre de Strasbourg, qui s’est pochardé d’eau-de-vie à en mourir, a été porté hors ville et enterré le matin entre 7 et 8 heures, à une heure insolite, sans chant d’église ni sonnerie de cloche [1] ». Cette mort est d’ailleurs auréolée, si l’on peut dire, de mystère, puisque bien des années plus tard, dans un procès en sorcellerie, l’aubergiste Balthasar Moyses aurait avoué avoir tué le peintre.


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