Menaces sur l’ancien hôpital La Rochefoucauld

1 1 commentaire

Situé entre l’avenue du Général Leclerc et l’avenue René Coty, l’ancien hôpital La Rochefoucauld est un monument à la fois très connu (il est visible d’un côté - ill. 1 - comme de l’autre - ill. 2 - au milieu d’un grand jardin), et très méconnu : qui peut se targuer d’y être déjà entré, ne serait-ce que pour en faire le tour extérieur ?


1. Vue de l’entrée de l’ancien hôpital de La Rochefoucauld, du côté de l’avenue du Général Leclerc
Photo : Didier Rykner
Voir l´image dans sa page
2. Jacques-Denis Antoine (1733-1801)
Ancien hôpital de La Rochefoucauld, 1780
Vu du côté de l’avenue René Coty
Photo : Didier Rykner
Voir l´image dans sa page

Un chef-d’œuvre de l’architecture de la fin du XVIIIe siècle

Il s’agit d’un bâtiment de première importance, œuvre de Jacques-Denis Antoine, l’un des plus grands architectes de la seconde moitié du XVIIIe siècle, dont la construction la plus célèbre est la Monnaie de Paris [1].
C’est en 1780 qu’il est chargé de construire cette « Maison royale de la Santé », née à l’initiative du père Gérard, provincial de l’ordre de la Charité. À cette époque, le lieu est encore hors la ville, en pleine campagne. Le financement est trouvé grâce à des dons du clergé et de la Couronne, mais aussi de Madame de La Rochefoucauld-Doudeauville, qui lui laissera son nom en 1821. L’hôpital, ou plutôt l’hospice, est « destiné à des ecclésiastiques et des militaires dépourvus de fortune [2] ».


3. Vue aérienne du site de l’ancien hôpital La Rochefoucauld
Photo : Google Maps
Voir l´image dans sa page

À l’origine, comme on le comprend d’une vue aérienne (ill. 3), le parc était beaucoup plus étendu. Du côté de l’entrée, sur l’avenue du général Leclerc, il a été amputé par la construction d’un bureau de poste qui a au moins le mérite d’être un bâtiment bas d’un seul étage, tandis qu’à l’arrière, l’avenue du Général Leclerc et la voie de chemin de fer (RER B) sont venues le réduire de manière encore plus drastique. Il possède néanmoins de beaux restes, auxquels s’ajoute un « regard » (ill. 4), petit édifice donnant sur l’aqueduc Médicis permettant d’alimenter l’hospice en eaux.


4. À gauche, regard du Saux (XVIIe siècle) donnant sur l’aqueduc Médicis, inscrit monument historique
Photo : Didier Rykner
Voir l´image dans sa page
5. Jean-Jacques-Marie Huvé (1783-1852)
Lingerie (à droite), 1823
Photo : Didier Rykner
Photo : Didier Rykner
Voir l´image dans sa page

Il faut signaler également le bâtiment de la lingerie (ill. 5 et 6), construit en 1823 par Jean-Jacques-Marie Huvé, que l’on voit avec une grande aile principale et deux petites ailes en retour, au nord du monument, ainsi qu’un poste de garde à gauche de l’entrée, et que l’ancienne maison du directeur (ill. 7), à droite, sans doute surélevée dans la première moitié du XIXe siècle.


6. Jean-Jacques-Marie Huvé (1783-1852)
Lingerie, 1823
Photo : Didier Rykner
Voir l´image dans sa page
7. Maison du directeur à l’entrée de l’ancien hôpital
Photo : Didier Rykner
Voir l´image dans sa page

S’il a poursuivi sa fonction d’hospice jusqu’en 2019, le lieu, toujours propriété de l’AP-HP depuis 1849, est depuis deux ans dévolu temporairement à d’autres usages. D’abord mis à disposition « pour l’accueil temporaire de femmes en famille ou isolées et de mères ayant accouché dans une de ses maternités et se trouvant sans solution d’hébergement », il est depuis le début de l’année, après des travaux de mise en sécurité (il est désormais entouré de barbelés) loué au commissariat de police du XIVe arrondissement dont les locaux sont en travaux jusqu’en 2022 [3]. À partir de cette date, son destin est incertain, et inquiétant.


8. Jacques-Denis Antoine (1733-1801)
Ancien hôpital de La Rochefoucauld, 1780
Photo : Didier Rykner
Voir l´image dans sa page
9. Rez-de-chaussée du corps central du bâtiment principal (état actuel)
Photo : Didier Rykner
Voir l´image dans sa page

Une protection très insuffisante

10. Premier étage du corps central du bâtiment principal (état actuel)
Photo : Didier Rykner
Voir l´image dans sa page

Cet ensemble est en effet protégé monument historique, mais de manière bien trop légère, puisque rien n’est classé. Le bâtiment principal d’Antoine (ill. 8) n’est qu’inscrit monument historique depuis 1928, et encore, seulement pour ses façades : sa toiture n’est pas protégée, ce qui est absolument incohérent. L’intérieur, que nous avons pu visiter récemment, a été, au cours des années, entièrement dénaturé et est actuellement complètement cloisonné (ill. 9 et 10), à tel point qu’on ne comprend plus son organisation interne. Il est possible, voire probable que des restes de décor, et le volume de certaines pièces soient encore conservés, comme on le voit d’ailleurs sur d’anciennes photographies (ill. 11 et 12). Il serait pour cela nécessaire de mener une étude approfondie de ce monument, ce qui à notre connaissance n’a pas été fait.


11. Photo de l’intérieur dans le dossier consacré à l’hospice à la Médiathèque de l’architecture et du Patrimoine
Voir l´image dans sa page
12. Photo de l’intérieur dans le dossier consacré à l’hospice à la Médiathèque de l’architecture et du Patrimoine
(correspond manifestement à l’état ancien du rez-de-chaussée tel qu’on le voit aujourd’hui sur l’illustration 9)
Voir l´image dans sa page

Les communs sont inscrits, cette fois façades et toitures. Mais ce que l’inscription entend par « communs » n’est pas clair : il semble que cela ne concerne que la lingerie, et ni les pavillons d’entrée ni la grille, ni les murs d’enceinte ne semblent protégés. Quant au parc (ill. 13 et 14), il ne bénéficie d’aucune protection, si ce n’est celle du Plan Local d’Urbanisme dont on sait qu’il n’en est pas réellement une car il est très facile à modifier (et la Ville est d’ailleurs en train de le changer...). On lit dans un rapport adressé à la commission supérieure des monuments historiques, datant du 12 octobre 1992 [4] : « C’est le modèle du château rural (Meudon, Sceaux...) implanté en ville à partir de la régence (Hôtel Biron) et généralisé à l’époque de Ledoux ». C’est dire l’importance de cet ensemble.


13. Jardin de l’ancien hôpital de La Rochefoucauld (au fond à droite, la lingerie)
Photo : Didier Rykner
Voir l´image dans sa page
14. Jardin de l’ancien hôpital de La Rochefoucauld (vue sur le côté sud)
Photo : Didier Rykner
Voir l´image dans sa page

15. Projet de construction sur l’emplacement de la Poste en 1992 (on voit que ce bâtiment avait déjà mordu sur le jardin)
Voir l´image dans sa page

Nous avons trouvé à la Médiathèque de l’architecture et du patrimoine des documents montrant qu’au moins deux nouvelles tentatives de construire plus haut sur la parcelle occupée par le bureau de Poste (ill. 15) avaient eu lieu en 1964 (projet des PTT) et au début des années 1990 (projet de l’AP-HP de construire un immeuble de quatre étages avec quarante-sept appartements pour héberger des infirmières - ill. 16). Aucun de ces projets n’avait abouti, le premier échouant grâce à l’opposition du Ministre chargé des affaires culturelles, suivant l’avis de la commission supérieure des monuments historiques, et le second car la Mairie de Paris avait finalement refusé le permis de construire, suivant l’opposition des associations (SOS Paris), de la commission supérieure des monuments historiques et de la mairie du XIVe arrondissement.
Ajoutons que l’on trouve encore trace sur internet de plusieurs autres projets (ill. 17) datés de 2008 consistant à construire plus haut sur la parcelle où se trouve la Poste, dont il faut rappeler qu’elle occupe déjà une partie de l’ancien parc de l’hospice...


16. Vue sur le bâtiment de la Poste construit sur le jardin de l’ancien hôpital de La Rochefoucauld (avenue du Général Leclerc)
Photo : Didier Rykner
Voir l´image dans sa page
17. « Étude de faisabilité sur le potentiel de la parcelle située entre l’avenue Coty et l’avenue du Général Leclerc, hypothèses de création de logements et d’équipements publics et privés » (Maîtrise d’ouvrage : AP-HP, 2008)
© Canal Architecture
Voir l´image dans sa page

Un avenir menaçant

Si la commission supérieure des monuments historiques s’est opposée deux fois à cette volonté d’aggraver encore le lotissement du parc, comment ose-t-on, à nouveau, y revenir ? Car il y a tout lieu d’être inquiet de ce que souhaite faire l’AP-HP et de ce que laissera faire la Mairie de Paris, qui pourrait aller encore plus loin que le rehaussement de la parcelle occupée par la poste.
Lors de sa séance du 19 juillet 2019, le Conseil de Paris a voté un vœu « relatif au devenir de La Rochefoucauld ». Ce vœu, qui a l’apparence de vouloir protéger le site « de la spéculation foncière », est particulièrement ambigu [5] :

« Considérant que l’AP-HP a décidé de fermer le service de gérontologie de La Rochefoucauld pour le regrouper avec les sites de la Broca et la Collégiale et de vendre ce site ;
Considérant que le site de La Rochefoucauld dispose d’une surface d’environ 2 ha, avec un ancien hôtel particulier et de nombreuses dépendances ;
Considérant que la qualité paysagère de ce site, dont une partie est classée en Espace vert protégé au PLU, doit être préservée.

Sur proposition de Carine Petit et des élus du Groupe Générations, Nicolas Bonnet, Hervé Bégué et des élus du Groupe communiste - Front de gauche, Pascal Julien et des élus du Groupe Écologiste de Paris, au nom de l’Exécutif,

Émet le vœu :

 Que le futur de ce site soit protégé de la spéculation foncière et réponde à des objectifs d’intérêt général, dont 50% de logements sociaux et une protection architecturale et paysagère,
 Que la Ville de Paris lance une étude de faisabilité au plus vite et engage des discussions avec l’AP-HP,
 Qu’un achat du site de La Rochefoucauld soit étudié par la Ville de Paris afin de rester dans la sphère publique pour un développement maîtrisé et confié à un aménageur public.
 »

On comprend donc bien que ce vœu ne vise pas à empêcher de construire sur le site de La Rochefoucauld. Jean-Louis Missika, l’adjoint à l’urbanisme de la Ville, répondait d’ailleurs à Carine Petit, pendant cette réunion du Conseil de Paris, tout en approuvant le vœu, qu’il s’agissait d’une « rare occasion foncière dans Paris » ! Quand l’association « Sauvons La Rochefoucauld », qui s’est constituée face aux menaces pesant sur ce site, a interrogé les candidats à la mairie de Paris aux dernières élections, seule Carine Petit et donc Anne Hidalgo souhaitaient « densifier ainsi l’arrondissement ». Quelle « protection architecturale et paysagère » cela suppose-t-il ? On peut se le demander. Rien de plus inquiétant sur un tel lieu qu’un « développement maîtrisé » et un « aménageur public » sur une « rare occasion foncière », lorsque l’on voit les opérations immobilières menées partout ailleurs dans la Ville de Paris, notamment sur les friches hospitalières. En prétextant le « social » (enfin pas entièrement, uniquement 50 %), on autorise en réalité la « spéculation foncière » contre laquelle on prétend lutter.

L’inanité de ce vœu peut se mesurer à l’aune de la réponse que Karine Taïeb, adjointe à la Mairie de Paris chargée du Patrimoine, de l’Histoire de Paris et des relations avec les cultes, a faite à nos questions sur les intentions de la Ville à l’égard de ce lieu. Manifestement, elle n’était pas au courant : « En réponse à votre mail, je n’avais pas connaissance de cette vente éventuelle qui est par ailleurs sous la seule responsabilité de l’AP-HP, propriétaire du site de l’hôpital de la Rochefoucauld. A ce titre, la Ville ne peut interférer dans cette cession. Néanmoins, je suis certaine que la Commission du Vieux Paris saura s’en saisir en temps voulu, si un permis de construire ou de démolir venait à être déposé. »
Si l’adjointe au patrimoine est elle-même si floue sur le devenir du site, et si défaitiste a priori sur la possibilité de la Ville de Paris d’y intervenir, alors que celle-ci pourrait dans un premier temps demander le classement du site et des monuments, et que la Maire de Paris n’est autre que la présidente du Conseil de surveillance de l’AP-HP, on comprendra à quel point l’inquiétude est de mise. La Ville a par ailleurs toute latitude d’autoriser ou non des constructions sur le site, mais nous n’avons pas reçu de réponse de Karen Taïeb à cette question précise [6]

La réponse de l’AP-HP à nos interrogations ne dissipe pas nos craintes, bien au contraire : « L’hôpital de La Rochefoucauld a cessé toute activité hospitalière au premier semestre 2019. Depuis lors, il a accueilli un centre d’hébergement de femmes sortant de maternité sans solution d’accueil puis, pendant la crise sanitaire, de personnes sans domicile atteintes de la Covid-19. Depuis l’été 2020, il est mis à la disposition du commissariat du 14e arrondissement, dont les locaux de l’avenue du Maine font l’objet d’une restructuration lourde. En parallèle, l’AP-HP a engagé une réflexion sur le devenir du site à sa libération par la Préfecture de police, en 2023. »
On se demande même (mais sans doute sommes-nous trop suspicieux), si l’AP-HP ne se moque pas de nous avec une telle réponse qui ne répond en réalité à rien, et est même trompeuse. L’AP-HP « engage une réflexion » affirme-t-elle ? Sa réflexion est tellement « engagée » qu’elle n’est pas allée plus loin que : « take the money and run ». Car sans doute la personne en charge de la communication à l’AP-HP est-elle la seule à penser qu’il y aurait une autre réflexion que de le céder au plus offrant. Le site est bien à vendre, comme le signale la presse, du Journal du Dimanche au Parisien, mais aussi toutes les associations de protection du patrimoine, de Sites & Monuments aux VMF


18. Aile droite du bâtiment de la lingerie vu de l’avenue René Coty
Photo : Didier Rykner
Voir l´image dans sa page

Un lieu tout désigné pour le Musée de l’Assistance Publique

L’AP-HP prouve, une fois de plus, avec son absence de vision autre que pécuniaire de l’hôpital de La Rochefoucauld, qui vient après tant d’affaires toutes plus lamentables les unes que les autres (hôpital Laënnec, hôpital Necker-Enfants Malades, Hôtel-Dieu, etc.), que le patrimoine n’est vraiment pas une de ses préoccupations. On en voit d’ailleurs la trace à La Rochefoucauld, ne serait-ce qu’à l’état déplorable de la lingerie, taguée et aux fenêtres murées par des parpaings (ill. 18)... Or cette institution est l’héritière de siècles de présence hospitalière à Paris, et elle ne peut se soustraire à ses responsabilités qui ne sont pas uniquement dédiées aux soins.


19. Hôtel de Miramion
Ancien siège du Musée de l’Assistance Publique
Photo : Didier Rykner
Voir l´image dans sa page

Ce lieu extraordinaire, encore si évocateur, pourrait pourtant avoir une destination toute trouvée, d’autant plus facile à mettre en place que les intérieurs du monument sont aisément aménageables et que la surface, si l’on prend en compte bien entendu l’infirmerie, et les pavillons d’entrée, est tout à fait respectable. Cette destination, ce serait d’y installer le musée de l’Assistance Publique, grand musée de la médecine à Paris, mais également véritable musée de Beaux-Arts tant il conserve d’œuvres remarquables. Fermé depuis la vente de l’hôtel de Miramion (ill. 19), ses collections sont depuis conservées en réserves (voir nos articles), à l’exception de quelques dépôts, notamment au Musée des Beaux-Arts de Rennes. Rappelons que l’AP-HP, une institution qui passe son temps à mentir (quand elle répond), avait promis que ce musée s’installerait, avec davantage de surface, dans l’Hôtel-Dieu. On n’en prend décidément pas le chemin, et sans doute faudrait-il plutôt consacrer l’Hôtel-Dieu à un Musée de l’Œuvre de Notre-Dame. La Rochefoucauld, quoi qu’il en soit, serait un endroit tout à fait adapté : il s’agit d’un ancien hôpital qui s’étend sur une grande surface. Nous nous battrons donc, aux côtés des associations, pour que ce ce site unique soit figé dans l’état d’aujourd’hui et donc entièrement classé monument historique, pour que les lieux soient accessibles entièrement au public et pour qu’il retrouve une affectation digne de son histoire.

Outre l’AP-HP, actuel propriétaire, et la Ville de Paris, un troisième acteur devrait jouer, dans l’idéal, un rôle clé : le ministère de la Culture. Mais celui-ci, une fois de plus, est bien absent de ce dossier. Quant à connaître les intentions de la DRAC à son sujet, la chose est difficile puisque les questions que nous lui avons posées ont reçu cette fameuse réponse : « La DRAC ne souhaite pas répondre à votre demande » (voir l’article). Le ministère de la Culture donc, ou plutôt son représentant en Île-de-France, n’a aucune réponse à apporter aux questions légitimes que l’on se pose sur le devenir d’un site historique et artistique aussi important que celui-ci !

Il est nécessaire que Roselyne Bachelot se penche sur ce dossier et fasse son travail de protection du patrimoine. D’ailleurs, elle connaît bien le dossier du Musée de l’Assistance Publique : elle était en poste comme ministre de la Santé quand la décision de vente de l’hôtel de Miramion qui l’abritait, a été prise [7]. Comme ministre de la Culture, nous lui suggérons de se battre pour réparer les dégâts patrimoniaux qu’elle a faits en tant que ministre de la Santé !

Didier Rykner

Notes

[1Si l’arrêté d’inscription, que l’on trouve sur la base pop.culture, indique donne comme auteur Charles-François Viel de Saint-Méaux, ainsi que celui de Huvé fils (Jean-Jacques-Marie Huvé), il est certain d’après tous les documents consultés que l’auteur est bien Antoine. Charles-François Viel de Saint-Méaux a pu l’assister, quant à Huvé, il est l’auteur de la lingerie, au nord du bâtiment principal.

[2Nous avons emprunté une partie de cet historique à l’article paru sur le site de Sites & Monuments.

[3Nous tenons à remercier la Préfecture de Police et le commissariat du XIVe arrondissement qui ont répondu très rapidement et favorablement à notre demande de visite. Une réactivité que l’on ne rencontre pas dans tous les ministères.

[4Médiathèque du patrimoine et de l’architecture.

[5Nous avons traduit ce vœu de l’écriture inclusive vers le français.

[6Nous lui avons en effet précisé notre question : « La question n’est pas vraiment celle de la vente, mais celle de l’autorisation ou de l’interdiction par la Mairie de Paris de toute construction sur ce site historique. Cela relève bien de la responsabilité de la Ville de Paris. »

[7Le professeur Jean-François Moreau, président honoraire de l’association des amis du musée de l’assistance publique, le lui rappelle d’ailleurs dans un courrier qu’il lui a récemment adressé.

Mots-clés

Vos commentaires

Afin de pouvoir débattre des article et lire les contributions des autres abonnés, vous devez vous abonner à La Tribune de l’Art. Les avantages et les conditions de cet abonnement, qui vous permettra par ailleurs de soutenir La Tribune de l’Art, sont décrits sur la page d’abonnement.

Si vous êtes déjà abonné, connectez-vous.