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De l’ombre à l’ombre

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Les « peintres de la lumière » disent-ils. On se demande pourquoi ils les exposent dans l’ombre (ill. 1). Cette aberration de montrer des tableaux dans le noir presque complet, en les éclairant par de violents spots, l’exposition organisée par Vittorio Sgarbi à Lucques [1] n’est pas la seule à le pratiquer. Depuis des années nous dénonçons ce type de muséographie qui fait ressembler les peintures à des écrans numériques tout en multipliant les reflets et les zones d’ombres, l’éclairage n’étant pas égal, surtout pour les grandes toiles. C’était aussi le cas récemment de la rétrospective Batistello Caraccciolo à Naples, mais celle-ci avait au moins une certaine cohérence.


1. Vue de la première salle de l’exposition
Photo : Didier Rykner
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