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Parcours dans les galeries dans le sillage du Salon du Dessin

27/3/17 - Marché de l’art - Paris - L’image est petite, mais d’une force incroyable (ill. 1). Elle contient tout ce que le romantisme français peut produire de plus puissant, et pourtant elle n’est due ni à Géricault, ni à Delacroix, mais à Eugène Isabey dont on sait qu’il parvient parfois à réaliser de véritables chefs-d’œuvre (rappelons-nous, par exemple, une acquisition récente du Musée de Montréal - voir la brève du 18/3/13). Cette gouache et aquarelle montrant un orage en mer s’est vendue, évidemment, immédiatement dans l’exposition de la Nouvelle Athènes qui, une fois de plus, est très réussie. On notera que la galerie, tout en restant très majoritairement dédiée au XIXe, s’ouvre au XVIIIe siècle, avec notamment une très belle sanguine du sculpteur André Lebrun représentant une…

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