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Une terre cuite de Jacques Sarazin préemptée par le Louvre

14/4/22 - Acquisition - Paris, Musée du Louvre - Leurs « gros bras ronds et potelés » que laissent voir leurs manches retroussées, leurs « jambes grasses » révélées par leurs robes fendues suscitèrent l’admiration d’Henri Sauval : les cariatides du Pavillon de l’Horloge du Louvre constituent « la plus superbe et la plus gracieuse partie de tout ce vestibule : on voit dans leurs belles têtes je ne sais quel orgueil, qui marque de la vertu, et sent sa personne de qualité, on trouve leurs embrassements très naturels et bien séants à des compatriotes affligées, qui tachent à se consoler et à s’entre-aider dans leurs misères, par l’union de leurs bras et de leur mains. [1] » Leur proportion gigantesque fut néanmoins blâmée par Jacques-François Blondel qui trouva cet étage un peu lourd sur…

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