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Pont-Aven achète un tableau d’Ibels
14/6/24 - Acquisition - Pont Aven, Musée - Le « nabi à la barbe rutilante » était Paul Sérusier, le « nabi zouave », Édouard Vuillard, et « le nabi aux belles icônes », Maurice Denis. Pierre Bonnard, qui aimait les estampes japonaises, fut surnommé le « nabi japonard », et Paul Ranson le« nabi plus japonard que le nabi japonard » tandis que Jan Verkade était « le nabi obéliscal » à cause de sa stature. George Lacombe hérita d’une épithète moins poétique, simplement appelé « le nabi sculpteur », et Henri-Gabriel Ibels « le nabi journaliste » parce qu’il collabora avec de nombreux journaux ; il conçut des illustrations, des dessins, des lithographies, des affiches et fut en outre l’un des fondateurs de la Société des Dessinateurs Humoristes.