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Des nouvelles de la Tabatière Choiseul

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12/10/24 - Découvertes et publication - Paris, Musée du Louvre - Il y a bientôt deux ans, nous nous réjouissions de l’arrivée de la Tabatière Choiseul dans les collections nationales : classé « œuvre d’intérêt patrimonial majeur », cet objet était alors judicieusement choisi pour la treizième campagne « Tous Mécènes ! » du Musée du Louvre. Ce genre d’opération étant bien sûr voué à réussir, ce petit trésor bénéficia comme il se doit d’une conjonction de bonnes volontés et la campagne de souscription ouverte du 8 novembre 2022 au 28 février 2023 rassembla 1 200 000 € auxquels s’ajoutèrent diverses contributions décisives dont celle des Amis du Louvre qui apportèrent 500 000 € tandis que M. Michel Lacoste, collectionneur d’orfèvrerie, s’imposa comme un mécène décisif, rejoint par le Cercle International du Louvre et les American Friends of the Louvre ainsi que les Laboratoires Septodont - avec leur Président du Conseil de surveillance, M. Henri Schiller, fidèle mécène du Louvre - et diverses autres entreprises et grands donateurs assurant le bouclage de l’opération.


1. Louis Roucel (actif entre 1763 et 1787) et Louis Nicolas Van Blarenberghe (1716-1794)
Tabatière du duc de Choiseul, 1770-1771
Or et miniatures sur gouache montées en cage sous cristal - 3,7 x 7,8 x 6 cm
Paris, Musée du Louvre
Photo : Hervé Lewandowski
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Si nous avions alors (voir l’article) tenté de résumer - à grands traits - tout ce qu’on a pu écrire sur cet objet fascinant (ill. 1) depuis le XXe siècle, moult questions restaient encore sans réponse au sujet de la réalisation de la tabatière, de son parcours agité depuis le XVIIIe siècle jusqu’aux collections de la famille Rothschild : sans dévoiler le résultat de l’impressionnant travail de recherche accompli - sous l’égide de Michèle Bimbenet-Privat, cheville ouvrière de l’opération - au Musée du Louvre, comment se résigner à ne pas déflorer quelques-unes des découvertes condensées à…

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