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De Marie Stuart à Daumier, en passant par Madame de Pompadour, Jérôme Napoléon et Girodet

Le nombre incroyablement élevé d’expositions organisées cet automne nous oblige à traiter rapidement, et fort tard, plusieurs manifestations qui auraient mérité meilleur sort. Mais à l’impossible, nul n’est tenu. Profitons-en d’ailleurs pour signaler ici que le fait qu’une exposition ne soit pas chroniquée sur La Tribune de l’Art ne signifie en aucun cas qu’elle n’a aucun intérêt et ne constitue pas une critique en soi. Soit nous ne l’avons pas vue, soit, comme pour celles qui suivent, nous n’avons pu la traiter en temps et en heure.

Jérôme Napoléon. Roi de Westphalie
Château de Fontainebleau, du 10 octobre 2008 au 8 janvier 2009.

1. Attribué à Jacques-Louis David (1748-1825)
Napoléon en costume impérial, 1808
Huile sur toile - 117 x 88 cm
Cassel, MHK, Neue Galerie
Photo : Museumlandschaft Hessen Kassel
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Bien qu’il s’agisse d’une version réduite d’une exposition présentée auparavant à Kassel, Jérôme Napoléon. Roi de Westphalie tient parfaitement les promesses de son titre en permettant au visiteur de découvrir, de manière très claire, didactique, et à l’aide d’œuvres souvent remarquables, la carrière du cadet de l’Empereur, de son séjour aux Etats-Unis où il fit un premier mariage (contre la volonté de son frère), à son retour en France en 1847 après un long exil en Italie, et à sa mort en 1860 (dernier frère survivant de Napoléon Ier, comblé d’honneurs par son neveu Napoléon III).
L’essentiel di propos est bien entendu consacré à la Westphalie, qu’il dut quitter en 1813 alors qu’il n’avait que 29 ans. Ce royaume, créé spécialement pour lui en regroupant artificiellement plusieurs régions allemandes, était totalement inféodé à l’Empire français.
Cette exposition, organisée par Christophe Beyeler et Guillaume Nicoud, aurait indubitablement mérité un article plus complet sur ce site. On ne peut que conseiller aux lecteurs de s’y rendre rapidement, puisqu’il leur reste quelques jours pour la visiter. Ils y verront…

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