Contenu abonnés

Actualité du château de Compiègne (1) : l’histoire de Don Quichotte de Coypel

4 4 commentaires Toutes les versions de cet article : English , français

5/9/24 - Exposition - Compiègne, château - Le château de Compiègne poursuit sa politique de présentation d’œuvres sorties de ses réserves et qui n’étaient plus visibles depuis longtemps, grâce à des expositions temporaires assez longues et à l’ouverture de nouvelles salles. Depuis quelques mois - et la présentation va être prolongée - nous pouvons voir dans la galerie de Bal, il est possible d’admirer les superbes traineaux anciens, qui font partie de la collection du musée de la Voiture ill. 1 et 2). Nous parlerons bientôt du Baptême du prince Impérial de Thomas Couture qui sera bientôt à nouveau visible (l’inauguration aura lieu pour les Journées du Patrimoine) ainsi que des six nouvelles salles qui seront terminées normalement l’année prochaine et où seront accrochées les peintures les plus importantes conservées au château et invisibles depuis des lustres. Il s’agit d’anciens appartements d’invités aménagés autrefois pour présenter les cartons de l’histoire de Don Quichotte par Charles Coypel, fermés depuis environ vingt-cinq ans.


1. Présentation des traineaux au château de Compiègne
Photo : Didier Rykner
Voir l´image dans sa page
2. France, XVIIe et XVIIIe siècle (pour le train)
Traîneau en forme d’aigle
Bois
Compiègne, château
Photo : Didier Rykner
Voir l´image dans sa page

Cet ensemble était donc invisible. Il fait aujourd’hui l’objet, depuis le 18 mai jusqu’au 6 janvier 2025, d’une exposition temporaire (ill. 3) qui permet de découvrir dix-neuf de ces œuvres, sur les vingt-quatre conservées à Compiègne [1], aux côtés de deux tapisseries et des estampes gravées par divers artistes d’après les compositions originales.


1. Vue de l’exposition sur les cartons de Charles-Antoine Coypel dans la salle des Gardes du château de Compiègne
Photo : Didier Rykner
Voir l´image dans sa page

La réalisation s’étala sur de longues années. Une première commande du duc d’Antin fut passée en 1714, qui se…

Pour avoir accès à ce contenu, vous devez vous abonner à La Tribune de l’Art. Les avantages et les conditions de cet abonnement, qui vous permettra par ailleurs de soutenir La Tribune de l’Art, sont décrits sur la page d’abonnement. Si vous souhaitez tester l’abonnement, vous pouvez vous abonner pour un mois (à 8 €) et si cela ne vous convient pas, nous demander par un simple mail de vous désabonner (au moins dix jours avant le prélèvement suivant).

Si vous êtes déjà abonné, connectez-vous à l’aide de ce formulaire.

Vos commentaires

Afin de pouvoir débattre des article et lire les contributions des autres abonnés, vous devez vous abonner à La Tribune de l’Art. Les avantages et les conditions de cet abonnement, qui vous permettra par ailleurs de soutenir La Tribune de l’Art, sont décrits sur la page d’abonnement.

Si vous êtes déjà abonné, connectez-vous.