Comme la plupart des sites internet, La Tribune de l’Art envoie chaque semaine à ceux qui le demandent une lettre par mail, qui récapitule les articles parus dans la semaine et nous sert également à diffuser certaines informations ponctuelles sur la vie de La Tribune de l’Art.
Si les abonnés payants peuvent évidemment s’inscrire à la lettre hebdomadaire, celle-ci est gratuite et ne fait donc pas partie de l’abonnement. Rappelons à cette occasion que La Tribune de l’Art est un site internet, pas une lettre d’information, et que seul l’abonnement payant permet d’avoir accès à l’intégralité du site. Des articles sont mis en ligne quasiment quotidiennement et il n’est évidemment pas nécessaire d’attendre le jeudi soir ou le vendredi matin (la lettre est envoyée le jeudi soir) pour se rendre sur le site.
Ceux qui reçoivent la lettre sans être abonnés ne peuvent lire que les contenus en accès libre. Ceux qui ne sont pas inscrits à la lettre mais sont abonnés ont accès à tout le site.
Si vous ne recevez pas la lettre d’information, cela veut dire soit que vous ne vous êtes pas inscrit, soit qu’un problème survient au moment de la réception.
Il arrive en effet que des personnes inscrites à la lettre d’information ne la reçoive plus. Bien sûr, nous ne désinscrivons personne. La lettre est envoyée chaque semaine à tous ceux qui en ont fait la demande. Mais cet envoi est automatique : nous passons par un prestataire extérieur spécialisé dans les envois en nombre. En effet, si nous n’envoyons des mails qu’à ceux qui nous l’ont demandé, les envois en nombre sont parfois considérés comme des spams. Ceci doit donc être fait de telle manière que les serveurs qui les reçoivent (gmail, orange, sfr, etc.) ne les identifient pas comme des courriers non désirés.
Mais il arrive donc parfois que, pour des raisons que nous ne maîtrisons pas car elles ne dépendent pas de nous, les lettres n’arrivent plus à leur destination.
Si tel est le cas, il est inutile de nous contacter : nous vous conseillons de consulter cette page (points 2.3 et 2.4) où nous donnons quelques pistes pour corriger ce désagrément totalement indépendant de notre volonté.
En attendant, ceux qui ne sont encore pas abonnés à la lettre peuvent le faire à partir d’ici.