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Publication d’un livre sur Antoine Ranc par la DRAC Occitanie

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23/5/18 - Publication - Drac Occitanie - En 2012, nous avions signalé la remarquable initiative de la DRAC Languedoc-Roussillon qui publiait une collection de petits livres gratuits, et disponibles également en téléchargement, consacrés au patrimoine de la région (voir la brève du 25/10/12). Devenue « DRAC Occitanie » depuis la fusion administrative avec Midi-Pyrénées, elle vient de publier un nouveau titre qui devrait intéresser plus d’un lecteur de La Tribune de l’Art.
Il s’agit en effet d’une monographie dédiée au peintre Antoine Ranc, père du plus célèbre Jean Ranc, qui fit une longue carrière de peintre religieux et de portraitiste autour de Montpellier. Si l’on ne connaît pratiquement plus ses portraits (seuls deux ont été repérés par Alain Chevalier, l’auteur principal), de nombreuses toiles sont encore conservées dans les bâtiments religieux.

Le livre ne se contente pas de retracer la carrière de Ranc, mais commence par un panorama assez complet de la peinture en Languedoc au XVIIe, exhumant des noms de peintres mal connus dont on n’a conservé souvent que très peu d’œuvres. C’est le cas de Pierre de Taneguy, au tout début du siècle, auquel on ne peut attribuer qu’un tableau dans l’église Saint-Mathieu de Montpellier. Cet artiste semble cependant avoir eu une activité importante jusqu’à sa mort vers 1617. Après cette date, un peintre d’origine flamande prend le relai, Jean de Wesel, dit Seigneur Jacques, qui domine la scène montpelliéraine, mais là encore, on ne connaît que deux œuvres qui pourraient lui être attribuées.

Le passage dans la région de Louis Finson et Martin Faber, ainsi que de Guy François (dont un tableau est conservé à Notre-Dame-des-Tables de Montpellier) introduit le caravagisme dans la région, mais celui-ci ne marqua pas vraiment Antoine Ranc ni son principal rival le peintre Paul Pezet. Tout cela est expliqué dans ce premier chapitre qui ouvre des pistes qui seront certainement intéressantes…

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